Auteur-e-s de romance francophones recherché-e-s - MàJ 18/4/12

Coucou !

Je mets ce post à jour au cas où vous tomberiez encore dessus (ne tenez pas compte des infos données dans les posts suivants, certaines choses ont été changées).

J'ai finalement décidé de baptiser mon entreprise "Éditions Laska" du mot "laska" qui signifie "amour" (et qui est assez joli, selon moi).

J'ai désormais un site web : http://romancefr.com Il n'y a pas grand chose dessus, surtout des informations pour les auteurs intéressés à me soumettre des manuscrits.

Si vous êtes un lecteur ou une lectrice de romance, les textes devraient arriver après l'été. Vous pouvez quand même vous tenir au courant des avancées du projet en vous abonnant à la newsletter (page d'accueil).

Si vous êtes sur Facebook et/ou Twitter, ça me ferait aussi super plaisir que vous me suiviez/aimiez ma page : Éditions Laska (Facebook), Éditions Laska (Twitter). Merci pour le soutien de BdP !!

Salut,

Dans quel cadre juridique tu veux faire cette création ?
J'avoue ne pas trop comprendre le but du projet ^^

Je veux monter une entreprise. Mais je t'avoue que j'ai encore beaucoup de recherches à faire pour préciser dans quelle case je rentrerai, comment j'aurai le droit d'employer qui, etc. Je débute complètement dans la création d'entreprise... :silent:

Le but du projet, il est simple: c'est de créer de la romance francophone! Qui jusqu'à présent n'existait pratiquement pas (pourquoi les traductions ne suffisent pas: La question de la langue). Ces dernières années on a vu quelques auteures francophones apparaître, comme Belinda Bornsmith; je trouve ça génial! Mais il y en a encore très, très peu pour l'instant... Je voudrais qu'il y en ait plus.

Quant à la question du modèle du projet (pourquoi plusieurs auteurs, pourquoi des livres numériques), c'est simplement l'idée que j'ai eue qui me semble la plus propice pour être à la fois rentable et donner une chance au plus d'auteurs possible.

donc ce serait uniquement de la production numérique ou du livre papier aussi ?
Mais c'est une maison d'édition ? Une entreprise d'accord. Mais dans quel but ? Production d'écrits ? de livres ? de promotion ?

Désolée de poser autant de questions, j'essaye de comprendre. ^^

Ensuite pour la création d'entreprise, il te faut d'abord définir le but, les moyens et les méthodes avant de décider quel société correspond le mieux à ton projet. La microentreprise, c'est pour une personne. Une SA demandera plus d'associés... etc

Ce serait plutôt comme de l'auto-édition, mais avec mise en commun des moyens et un "chaperonnage" global, si je devais de le décrire (comme Mediapart, mais en remplaçant le contenu journalistique par de la fiction).

Uniquement numérique; je ne veux pas m'embarrasser des coûts et limitations liés au papier (non seulement impression, mais aussi distribution, stockage, etc.).

Le but, les moyens, les méthodes: tout ça c'est décrit dans un long document de plus de dix pages (produit, marché, concurrents, clients, équipe, fournisseurs, etc.). J'arrive à la partie financière, je vais devoir ressortir mes maths... De toute façon, je n'en suis qu'au tout début. Je vais essayer d'avoir de l'aide et des conseils du centre d'entrepreunariat de mon université.

Après une petite recherche il semblerait qu'une "Société de personnes" soit peut-être la structure la plus appropriée à mon projet... Cela justifierait aussi que je ne compte pas toucher de bénéfices en tant que propriétaire, mais uniquement en tant qu'auteure, à égalité avec les autres. Peut-être une "société en nom collectif"?

Xéléniel a écrit:Ensuite pour la création d'entreprise, il te faut d'abord définir le but, les moyens et les méthodes avant de décider quel société correspond le mieux à ton projet. La microentreprise, c'est pour une personne. Une SA demandera plus d'associés... etc

Après un rendez-vous avec un conseiller, je pense que je vais opter pour la solution simple d'une entreprise individuelle.

Les auteures seront donc rémunérées selon les conditions stipulées dans un contrat (comme avec une maison d'édition classique), mais à une hauteur supérieure à ce que les contrats d'édition traditionnels proposent aux auteurs.